Dans le tourbillonnement du vent des jours
Que votre pas soit ferme
Et votre cur ouvert
Souriant aux curs passants qui alentour
Tracent un chemin de peine
Ou chantent un joyeux air
Et qu'en ce monde dément, au pas si lourd
Vous choisissiez qu'on aime
Et vouliez être frère
Grâce et paix à vous
tout au long de ces jours !
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