Pour revenir, réduire ou fermer la page.
Vous me donniez la vie en avril cinquante-deux Mais c'est toi, maman, qui durant tant de jours, tant de nuits M'as porté, m'as nourri, as tracé mes repères Toi qui vins à ton heure au travers d'une mère... Ainsi de mère en mère et d'enfant en enfant Dieu tisse sa trame, sans relâche, patiemment Et rêve - mais est-ce un rêve ? - qu'un jour, à l'horizon Cette écharpe d'humains soit un tissu d'amour Qui recouvre la terre de chaleur et de joie... Et ce sont vous, les mères, qui portez en vos coeurs Inscrite en lettres d'or, tel un bouquet de fleurs Tel un défi divin, la mission d'éveiller Au coeur de vos enfants le libre choix d'aimer ! Bernard ![]() |